Pour répondre à un mode de vie étendue à la réalité virtuelle au quotidien, l’essai (projet) vise à former une architecture hybride composée de l’espace matériel et de l’espace virtuel.

En considérant l’engouement très fort pour la réalité virtuelle à Hong Kong et son modèle d’habitation à superficies restreintes et ce, surtout dans le quartier de Kwong Tong marqué par une forte densité et pour une majorité de logements individuels, l’espace de réalité virtuelle est employée pour s’affranchir des limites de l’espace ainsi que pour conjuguer les différentes individualités compris dans un complexe d’habitation existant.

Ce même espace est interprétable différemment selon les différents calques intangibles qui se superposent à la réalité de base. Avec ces filtres, c’est différentes fonctions qui s’opèrent en simultané dans un même endroit, au même moment. Les usages sont densifiés.

Dans ce cadre, le processus de conception hybride plusieurs types d’architecture en corrélation avec la fonctionnalité variée.

Le virtuel et le réel se croisent. L’architecture matérielle permet les interactions physiques qui sont interprétables différemment selon à la programmation virtuelle. Le virtuel teinte les ambiances et filtre les interactions incompatibles entre les différentes réalités. Ainsi, des limites sont simulées dans certains cas pour contrôler la circulation et pour restreindre l’accès à un flux de dynamisme incohérent selon la fonction.

En somme, le projet est un connecteur. Il joint les différentes réalités et individualités ensemble au même point dans l’espace en simultané tout en répondant à de nouveaux types d’interactions en réalités virtuelle.